Quels sont les symptômes du mal de la méditation ?
Timothée Colin
2025-07-22 12:41:20
Nombre de réponses
: 13
Une baisse de symptômes liés à la dépression ou à l’anxiété.
Le BDNF est inversement lié au niveau d’anxiété.
Le pic de cortisol au réveil des participants était bien supérieur à la normale.
Le cortisol aide l’organisme à gérer le stress en mobilisant l’énergie nécessaire pour faire face à un événement stressant.
Les analyses biologiques montrent une baisse des marqueurs de l’inflammation de l’organisme avec une augmentation des taux de cytokine anti-inflammatoire Interleukine-10 et une diminution de la cytokine pro-inflammatoire Interleukine-12.
Daniel Paul
2025-07-12 22:59:16
Nombre de réponses
: 17
La méditation peut-elle être dangereuse?
Dérives et fragilité mentale
L’apprentissage de la méditation est sans risques.
Sauf dans 2 éventualités : les dérives sectaires, conséquence indirecte de la pratique, et en situation de fragilité mentale.
Deuxièmement, lorsqu’un individu est en situation de fragilité mentale.
Plus précisément, sur certaines pathologies dépressives, la méditation de pleine conscience peut venir aggraver l’état de certains patients.
La mindfulness n’est pas (encore) réglementée.
Mais des certifications existent.
Délivrées en France par l’ADM et l’IMA, elles garantissent un encadrement sérieux de la pratique.
Car ces démarches ne sont pas anodines, notamment dans le cas de la MBCT, destinée à prévenir les rechutes dépressives et réservée en France à l’enseignement par des professionnels de santé.
Lucas Ferreira
2025-07-05 10:16:42
Nombre de réponses
: 14
Les textes bouddhistes rapportent de nombreux effets secondaires, en particulier chez les personnes qui pratiquent intensivement la méditation. Cela inclut des états d’euphorie, des visions, des douleurs physiques intenses, de la paranoïa, de la colère et de la peur. Seules 25% des études publiées jusqu’en 2015, par exemple, évaluaient les effets indésirables associés à sa pratique. La méditation ne convient pas à tout le monde. Si l’ego est altéré par une psychose ou un traumatisme, cela peut être dangereux pour la personne, en réveillant des tendances suicidaires par exemple. De plus, ce qui est considéré comme un symptôme dans notre culture peut être au contraire considéré, du point de vue la pensée bouddhiste, comme un signe encourageant de la progression du méditant. C’est le cas de la crise d’angoisse.
Constance Dumont
2025-07-05 08:22:59
Nombre de réponses
: 8
Paralysie mentale.
Hallucinations, visions ou illusions.
Sensibilité particulière aux sons et/ou à la lumière.
Peur, anxiété, panique.
Dépression.
Douleur.
Réapparition de souvenirs traumatisants.
Perte d'intérêt.
Difficulté à interagir avec les autres.
Ces expériences négatives liées à la méditation sont particulièrement présentes lorsque cette dernière est pratiquée pendant de très nombreuses heures par jour.
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